A l'appel de la CGT, une centaine de manifestants s'était donné rendez-vous jeudi matin dès 8h pour participer au réveil bruyant de l’hôte de l’Elysée qui a passé la nuit dans les locaux de la préfecture des Hautes-Pyrénées.
Les forces de maintien de l’ordre (officielles celles-là) en nombre n'ont pas permis aux manifestants de s'approcher de la Préfecture, empechant de fait la tenue de tout débat avec le chef de l'Etat (les bains de foule étant soigneusement orchestrés par le service de communication de l'Elysée).