Une dizaine d’agents a pu intervenir au conseil municipal de Libourne qui se tenait le 25 juin 2019 afin d’y dénoncer le projet de géographie revisitée qui signe la fin de notre réseau et de nos missions.
Ce vendredi 28 juin, ils étaient nombreux à aller distribuer des flyers aux usagers sur le marché.
Nouvelle carte des impôts : ce qui va changer
Le 28 juin les agents ont envahi le CTL .
Ci joint la déclaration lue au nom de l'ensemble des personnels
Le 27 juin 2019, les organisations syndicales étaient convoquées en CTL par la direction. Suite aux HMI, les agents de la DDFIP 34 ont décidé d’envahir ce CTL pour exprimer leur mécontentement.
Nous étions environ 200 agents rassemblés dès 8h30 devant la direction à Montmorency. Nous nous sommes invités à la séance plénière.
Suite à la présence massive des agents, le directeur a réuni son premier cercle de collaborateurs.
A l'issue du rassemblement Fonction Publique devant le ministère à Bercy, les agents de la direction du 92 présents se sont réunis avec le Comité de délégués des centres et de services, syndiqués ou non, et les sections syndicales CGT, Solidaires Finances Publiques et FO.
Un point a été fait sur la journée du 27. Après la grève du 25 juin dans la direction, à nouveau, près de 200 agents étaient en grève dans le département.
Étaient fermés les Trésoreries municipales de Sceaux, Clichy, Asnières, Colombes, l'accueil du SIE de Clichy, la caisse commune du CFP de Vanves.
L'accueil du public fermera ses portes à Marennes d'ici 2022 pour être remplacé par un "point de proxilité" sans doute à la Maison des initiatuves et des services. Le maire se dit préoccupé.
Après la forte mobilisation du 17 juin des agents du département, qui avait réuni près de 250 agents (avec envahissement du CTL) et où des décisions avaient été adoptées à une très forte majorité (pétition, lettre aux élus, communiqués de presse et appel à la grève le 27 juin), le 27 juin a fait l'objet d'une plus forte mobilisation encore.
Pas de taux de grévistes annoncé pour le 27 juin, puisque les consignes de la Direction Générale étaient claires : ne faire qu'un contrôle allégé de la journée (nombre de grévistes sans référence aux agents devant être présents) ;